La SCI ou Société Civile Immobilière est un moyen très intéressant en matière d’investissement locatif et achat de bien immobilier. Cette pratique facilite également la gestion et la transmission du patrimoine acquis en commun pour un couple. Il existe quatre catégories de SCI qui possèdent chacune des particularités.
La SCI de location et la SCI d’attribution : leurs particularités
La SCI de location concerne les acquisitions immobilières à mettre sous location. C’est la SCI classique destinée à faciliter la transmission d’un patrimoine immobilier en cas de décès d’un associé. Comme toute SCI, elle doit être constituée d’au moins deux associés, d’un capital social composé d’apport en numéraire et en nature des associés et d’un statut écrit et publié.
Pour des projets immobiliers plus complexes, Le Mag de la SCI présente la SCI d’attribution qui est celle adaptée et qui attire de nombreux investisseurs. Sa particularité réside dans le fait qu’elle facilite le partage de biens immobiliers achetés en commun ou construits à plusieurs. Elle est dirigée par un ou plusieurs gérants, associés ou non. Son objet se limite à édifier, gérer et entretenir les immeubles leur appartenant.
La SCI construction-vente et la SCI de jouissance à temps partagé : leurs particularités
La SCI vise également la promotion immobilière et dans ce cas-là, elle concerne la SCI construction-vente dont l’objectif est de construire un immeuble pour ensuite le revendre pour se faire des bénéfices. Sur le plan juridique, il est impératif que la SCI de construction-vente ait pour objet la vente d’un immeuble achevé ou non.
Le dernier type de SCI est celui appelé SCI de jouissance à temps partagé ou société de multipropriété ou encore de pluri propriété. Elle consiste à acheter plusieurs résidences secondaires dans lesquelles, chaque associé bénéficiera d’une période d’occupation en fonction de ses apports dans la société. En général elle concerne les familles partageant une maison de vacance.
